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Aston Martin DBS Superleggera et Vantage 007 Edition : promotion assurée

Aston Martin célèbre la sortie du prochain opus de la saga James Bond, No Time to Die en dévoilant une série spéciale 007 Edition sur ses DBS Superleggera et Vantage.

Photo profil Aston Martin DBS Superleggera et Vantage 007 Edition

SI aujourd’hui, l’imaginaire collectif associe volontiers James Bond et Aston Martin, le célèbre espion a d’abord roulé en Bentley Mark IV, avant de se voir imposer l’Aston Martin DB5 par M dans Goldfinger. Une union quelque peu forcée devenue mythique au fil des décennies, au point que l’image de la marque britannique est désormais étroitement liée à celle de 007. Une véritable love story qui dure depuis plus de cinquante ans maintenant, et qui n’est pas près de s’arrêter. Le prochain opus de la saga, No Time to Die (Mourir peut attendre) mettre en effet à l’honneur pas moins de quatre modèles du constructeur, à savoir la DB5, l’Aston Martin V8, la nouvelle DBS Superleggera et la future Valhalla, dont la production débutera dans le courant de l’année suivante. Un film qui devrait donc plaire aux amateurs de belles anglaises, et qui inspire d’ores et déjà la firme de Gaydon, qui dévoile une série limitée 007 Edition, réservée à sa DBS Superleggera et à sa Vantage.

Conçues par la division de personnalisation Q by Aston Martin, ces deux sportives adoptent un style très sobre, qui fait son petit effet. La Vantage 007 Edition s’inspire de l’Aston Martin V8, apparue pour la première fois dans Tuer n’est pas Jouer en 1987, et se distingue notamment par une teinte gris foncé, ainsi qu’une calandre spécifique. Des contours chromés évoquant la V8 complètent l’ensemble de même que les diffuseurs et les jupes latérales rehaussées de jaune. Les cinéphiles apprécieront le petit clin d’œil prenant la forme de porte-skis, une belle référence là encore à la V8 du film. De son côté, l’Aston Martin DBS Superleggera est quant à elle un peu plus discrète, se contentant d’une robe grise ainsi que d’éléments en fibres de carbone. Les deux sportives s’offrent également des pare-soleil brodés de la fréquence radio 96,60, qui n’est autre que celle de la police russe utilisée par James Bond dans Tuer n’est pas Jouer.

Série très limitée

Photo arrireAston Martin Vantage 007 Edition et Aston Martin V8

A l’intérieur de l’Aston Martin Vantage, le conducteur pourra découvrir une plaque gravée au laser référençant tous les gadgets et armes disponibles sur l’auto. Une belle référence à l’univers de la saga, qui se poursuit sur les sièges, dont les appuie-têtes sont brodés d’un motif rappelant les ouïes des violons, en référence à la course-poursuite entre James Bond et Kara Milovy. De son côté la DBS Superleggera est là encore plus sobre, et seule la plaque numéroté lui permettra de se distinguer d’un modèle standard. Pour rappel, la Vantage embarque sous son capot un V8 4,0 litres biturbo, développant 510 chevaux, exactement comme l’Aston Martin DB11 dont nous avons pris le volant il y a quelques mois. De son côté, la Superleggera est quant à elle animée par un V12 5,2 litres biturbo, produisant quelque 725 chevaux, associé à une boîte automatique à huit rapports ZF envoyant toute la puissance aux roues arrière.

Les deux autos sont d’ores et déjà disponibles à la commandes, mais il faudra faire vite, puisque l’Aston Martin Vantage 007 Edition est limitée à seulement 100 exemplaires, contre 25 unités pour la DBS Superleggera. Comptez respectivement 310 000 et 180 000 € pour vous offrir l’une des deux voitures.

Marie Lizak

Fondatrice et responsable éditoriale du site Une Fille Au Volant, je suis une passionnée de l'automobile dans tous ses aspects. J'ai pour vocation de partager ma passion avec légèreté et bonne humeur, sans oublier la rigueur et l'information, bien évidemment !

Un commentaire

  1. Pour éviter les confusions … dans les romans de Ian Flemming écrits entre 1953 et 1964, James Bond roule invariablement dans une Bentley 3.5, avec carrosserie coupé spéciale by Mulliner et moteur à compresseur. Il n’existe pas d’illustration de cette voiture sortie de l’imagination de l’écrivain, juste des descriptions dans les romans « Casino Royale » et jusqu’à « Moonraker » notamment. Malgré deux graves accidents lors de poursuites, Bond fera systématiquement reconstruire sa Bentley. Nuance majeure avec la saga des films, il s’agit de la voiture personnelle de Bond, elle n’est pas fournie par le MI-6, toujours à court d’argent

    Au cinéma, dans le premier James Bond (Dr No en 1962) il roule en Sunbeam Alpine. Une brève allusion bucolique à la Bentley sera faite au début de Bons Baisers de Russie mais la « James Bond Car » nait effectivement au cinéma avec Goldfinger !

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