Actualité automobileInsolite

Cinq choses que vous ne saviez pas sur les films Cars

A l’occasion de la sortie de Cars 3 le 2 août prochain, découvrez cinq anecdotes insolites que vous ne saviez probablement pas sur la saga Pixar.

Sorti en 2006, le premier opus de la trilogie Cars a marqué le monde du film d’animation de par son sujet pour le moins insolite et son histoire, qui a su attirer petits et grands en salles. Onze ans et plus de cinq millions d’entrées en France plus tard, Flash McQueen et ses amis s’apprêtent à faire leur retour le 2 août prochain. L’occasion de découvrir cinq choses que vous ignoriez sur l’une des sagas automobiles les plus célèbres.

  1. Des plaques d’immatriculation qui en disent long

Luigi_License.gif

Peut-être n’y avez-vous pas vraiment fait attention, mais la plupart des personnages de Cars 3 possèdent une plaque d’immatriculation, dont certaines sont plus intéressantes qu’elles le laissent paraître. Celle de Sergent, par exemple, indique 41WW2, qui représente l’année où la Jeep Willys est entrée en service durant la 2nde Guerre Mondiale, en 1941. Les passionnés de voitures italiennes ont eux sans doute remarqué que la plaque de Luigi, l’attachante petite Fiat 500 arbore quant à elle la latitude et la longitude de l’usine Ferrari de Modène. D’autres références de ce genre se cachent sur les autres voitures du film, ouvrez l’œil…

2. Une histoire de voiture électrique

giphy-downsized

A ses débuts, Cars devait s’intituler « Little Yellow Car » et raconter l’histoire d’une petite voiture électrique rejetée par les autos à moteur thermique. C’est le scénariste Jorgen Klubien, qui a notamment travaillé sur Cars mais aussi 1001 Pattes qui a lâché l’information, affirmant s’être inspiré d’une véritable histoire.

En effet, dans les années 80, un groupe de passionnés créa une voiture électrique à trois roues qui s’avérait très pratique en ville mais trop lente pour les voies rapides et vivement critiquée par le public de par son apparence disgracieuse. Lors d’une interview, l’artiste avait confié « j’ai toujours trouvé que la voiture électrique était en avance sur son temps et ça m’a frappé que les gens ne soient pas d’accord avec moi. Ça m’a fait penser au conte « le vilain petit canard » d’Andersen. Il n’était pas accepté au début mais il a pu prouver qu’il avait autant de valeur que les autres. »

Le scénario ne fut finalement pas conservé car jugé trop léger pour en faire un film complet mais le petit village où fut originellement créé cette petite voiture électrique a servi d’inspiration pour Radiator Spring dans l’œuvre que l’on connaît aujourd’hui.

3. Une inspiration insolite pour Martin

giphy-downsized (2)

Martin, le dépanneur et meilleur ami de Flash McQueen est en réalité inspiré d’une personne réelle et plus particulièrement d’un véritable fan de NASCAR, que John Lasseter, créateur du film a rencontré sur le Charlotte Motor Speedway. Nommé Douglas « Mater » Keever, ce passionné de courses automobiles a d’ailleurs fait plus qu’inspirer l’un des personnages principaux de la saga puisqu’il a également donné sa voix à Doug R.M, l’un des camping-cars qui assiste à la Piston Cup. On lui doit notamment cette réplique : « Well, dip me in axle grease and call me Slick! », par ailleurs totalement improvisée par l’acteur.

4. Une technique révolutionnaire

giphy (4)

Cars est le premier film Pixar à avoir inauguré la technique du lancer de rayon, qui consiste à reproduire de manière ultra-réaliste la manière dont les objets réfléchissent la lumière, et notamment la carrosserie des voitures. Cette méthode, bien que très efficace est également beaucoup plus longue, puisque chaque image (1/24ème de seconde) prend en moyenne 17 heures à produire, certaines pouvant aller jusqu’à une semaine. Par ailleurs, vous ne l’aviez sans doute pas remarqué mais Flash McQueen arbore 14 peintures différentes dans le 1er opus, en incluant les scènes où il est recouvert de boue mais également lorsqu’il arbore différentes livrées.

5. Flash McQueen, un vrai mélange des genres

giphy (5).gif

Si de nombreux personnages sont inspirés de véritables voitures comme Sally la Porsche 996 et Luigi la Nuova 500, le modèle de Flash McQueen est longtemps resté un grand mystère. Corvette ? Dodge Viper ? Et bien non… enfin c’est plus compliqué que ça.

Selon Bob Pauley et John Lasseter, respectivement designer et réalisateur, le héros de la saga serait une voiture de NASCAR mélangée à plusieurs modèles mythiques tels que la Ford GT40 ou encore la Dodge Challenger.

Marie Lizak

Marie Lizak

Fondatrice et responsable éditoriale du site Une Fille Au Volant, je suis une passionnée de l'automobile dans tous ses aspects. J'ai pour vocation de partager ma passion avec légèreté et bonne humeur, sans oublier la rigueur et l'information, bien évidemment !

5 commentaires

  1. Woah super article en plus j’ai regarder cars 1 et 2 hier 😂 et j’ai hâte que le troisième film sorte.
    J’ai appris des choses. Merci 😊😁😏🚘🚘

  2. Super intéressant ! Où as-tu trouvé toutes ces infos ? 🙂 J’ai vu Cars1 et je viens de voir le 3 (j’ai loupé le 2 en effet). J’adore. On a passé un très bon moment au ciné !^^

    1. Coucou ! Merci pour ce retour, j’ai aussi adoré Cars 3 ! Bref, pour les infos, je les ai trouvées sur différents sites, majoritairement étrangers, qui répertorient toutes les rumeurs et les secrets de tournage. Malheureusement, je n’ai plus les liens en tête mais je vais essayer de les retrouver si tu es intéressée 🙂

Répondre à Marie Lizak Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page